• J'ai lu

    J'ai lu

     

    J'ai lu ce roman il y a quelques semaines et j'avais oublié de vous le présenter. Il m'avait été conseillé comme lecture lors de mon arrêt suite à mon entorse...

    J'ai bien aimé cette histoire d'une petite fille, Olivia devenue une femme forte par la force des choses. On est immergé dans un village du Kentucky pendant ces années de dépression où les gros problèmes économiques et le racisme sévissent cruellement. Olivia ira jusqu'au bout de son histoire tout en affrontant ses ennemis et en découvrant petit à petit le secret qui la conduira vers le dénouement de sa vie, de sa famille. Une histoire pleine d'émotions. 

     

     

     


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  • Je viens de terminer ce livre.

     

     

     

    Sur la quatrième de couverture

    Le roman qui a enflammé l'Espagne.

    Barcelone, 31 décembre, Amalia et son fils Fernando s'affairent en attendant leurs invités. En ce dîner de le St Sylvestre, Amalia, 65 ans, va enfin réunir ceux qu'elle aiment. Ses deux filles, Silvia et Emma ; Olga, la compagne d'Emma, l'oncle Eduardo, tous seront là cette année. Un septième couvert est dressé, celui des absents.

    Chacun semble arrivé avec beaucoup à dire, ou, tout au contraire, tout à cacher. Parviendront-ils à passer un dîner sans remous ?

    Entre excitations, tendresse et frictions, rien ne se déroulera comme prévu.

    Alejandro Palomas brosse avec humour le portrait d'une famille dont les travers font inévitablement écho à nos propres expériences, et celui d'une mère loufoque, optimiste et infiniment attachante. Une mère profondément humaine, et qui il reste encore quelques leçons à transmettre à ses grands enfants : au cours de cette longue nuit, secrets, mensonges, non-dits et autres révélations familiales vont éclater.

    Ce livre m'avait été conseillé parmi d'autres et par une collègue de ma fille de la médiathèque me sachant  coincée à la maison avec une entorse (qui soit dit en passant s'éternise : / )

    Amalia,  mère divorcée et libre qu'on va découvrir loufoque mais  tendre envers ses enfants. Il y a aussi les absents, la grand-mère et mère d'Amalia, et celui qui ne fait plus partie de la famille, le père, qui a laissé des questions en suspens et dont Fer, le fils et narrateur de cette histoire voudrait les réponses. Ses soeurs ne sont pas en reste en traînant derrière elles des désastres personnels qui les ont conduites à avoir un secret.  On découvre leur face A et leur face B comme nous le montre Fer. L'oncle Eduardo apporte aussi son lot de surprise à cette réunion familiale. Et Amalia est là parmi tout son petit monde qui voit, qui s'inquiète mais qui est incomprise dans sa vision surréaliste d'expliquer les choses). On passe du sourire au rire (j'ai ri à un passage, mon mari se demandait ce qu'il m'arrivait), j'ai été triste aussi. Mais lorsque les secrets se dévoilent, la vie ne peut-elle glisser plus simple et continuer plus heureuse ?

    Un livre que je vous conseille car vous aurez peut-être plaisir à le lire comme moi je l'ai eu.

     

     

     

     

     

     


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  • J'ai lu

    Sur la quatrième de couverture

    Justine, vingt et un an, aime les personnes âgées comme d'autres les contes. Hélène, presque cinq fois son âge, a toujours rêvé d'apprendre à lire. Ces deux femmes se parlent, s'écoutent, se révèlent l'une à l'autre jusqu'au jour ou un mystérieux "corbeau" sème le trouble dans la maison de retraite qui abrite leurs confidences et dévoile un terrible secret. Parce qu'on ne sait jamais rien de ceux que l'on connaît.

    A la fois drôle et mélancolique, Les Oubliés du dimanche est un roman d'amours passées, présentes, inavouées...éblouissantes.

    J'ai beaucoup aimé ce roman sur la transmission. Celle d'une belle et grande histoire doublée d'une intrigue familiale pleine de secrets que Julie va essayer de démêler et où la vérité se fera jour. 

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  • La couverture de ce roman lu récemment vous met déjà dans l'ambiance de la lecture.

    La quatrième de couverture :

    Un roman

    La banalité du quotidien de ce quadragénaire en chômage et désabusé est balayé -et c'est bien le mot qui convient- par la mort de son voisin qu'il ne connaissait pas et qu'il avait peu entrevu.

    J'ai bien aimé ce roman qui a une écriture simple et bien rythmée, l'histoire est surtout des plus originales et pleine de dérision, mais aussi d'un humour grinçant voire noir. C'est une lecture qui nous interpelle aussi sur l'indifférence  collective, sur la solitude de personnes vivant proche de nous et qui restent transparentes.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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