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    Je vous emmène vers une suite de l'exposition sur Gustave Caillebotte qui a du succès nous l'avons vu.

    "Caillebotte a grandi à proximité de la manufacture textile familiale à Paris où la population ouvrière  s'accroît. Il est le premier à dédier de grands tableaux aux travailleurs urbains. Probablement refusé par le jury du Salon en 1875, Raboteurs de parquets attire tous les regards à l'exposition de 1876."

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    L'artiste porte un intérêt à une représentation très réaliste des corps des ouvriers en plein travail, les corps à demi nus.

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    "Le critique Duranty note dans La Nouvelle peinture (1876) : "ce qu'il nous faut, c'est la note spéciale de l'individu moderne, dans son vêtement, au milieu de ses habitudes sociales, chez lui ou dans la rue". Souscrivant à ce projet "réaliste", Caillebotte s'attache à la représentation du costume". *

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    Caillebotte a aussi peint la ville dans sa modernité et par la nouveauté de ses architectures dans laquelle il a parcouru chaque jour ses rues et ses boulevards pour se rendre vers les ateliers de ses amis et les cafés où ils se rencontrent. *

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    Il peint les hommes qui occupent l'espace public avec assurance et liberté.

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    "La culture des loisirs se développe en France pendant la seconde moitié du XIXe siècle. Elle inspire à Caillebotte une importante série d'oeuvres sur le thème du canotage et de la baignade présentées à l'exposition impressionniste de 1879. Mais, contrairement à la majorité des artistes de sa génération pour qui ces sujets sont prétexte à figurer des hommes et des femmes en barque ou dans les ginguettes. Caillebotte montre un canotage sérieux, non mixte et sportif. Expressions d'une nouvelle culture masculine célébrant le dépassement de soi, la discipline, la force physique et l'effort collectif, le sport au grand air est vu comme un antidote aux maux et vices supposément dévirilisant de la société urbaine et industrielle". *

    Périssoires - 1877

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    Baigneurs - 1877

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    Avec son frère Martial, Gustave s'installe au bord de la Seine au Petit Gennevilliers où ils peuvent s'adonner à leur passion, le yatching et l'horticulture.

    Potager - Petit Gennevilliers - Vers 1882

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    Chemin montant - 1881

    C'est à Trouville que Caillebotte peint ce tableau, où l'on retrouve sa prédilection pour les figures  de dos et les situations indéterminées entre les hommes et les femmes. L'artiste représente t il un couple ?ou bien sa propre compagne et un ami ? Au début des années 1880, le peintre se converti à la peinture de plein air, sur le modèle de ses amis Monet et Renoir comme le montre cette peinture au coloris très vif et à la touche énergique qui fait la part belle aux effets de lumière filtrant à travers les feuillages. (Lu sur place)

    *Tiré du site : Caillebotte peindre les hommes I C I 

    Merci d'avoir suivi notre visite au musée d'Orsay. Je vous emmènerai plus tard vers la continuité de notre parcours dans le musée.

    Bonne journée.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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